Triathlon sprint de Dijon, Maire et Cloix récidivent
Le 28ème triathlon sprint de Dijon s’est couru cet après-midi sous une chaleur étouffante. Pas moins de 350 participants se sont élancés pour 750m de natation, 18km de vélo et 5km de course à pied.
Auteur d’une course parfaite, c’est le triathlète du GTV Haut-de-Saône, Alexandre Maire, qui a franchi la ligne d’arrivée en premier en moins d’une heure (voir le classement). Sorti en tête de la partie natation, l’ex-Dijonnais a ensuite maintenu le cap avant de terminer très fort sur la course à pied (meilleur temps en 15’52). Il conserve donc le titre qu’il avait déjà obtenu l’an dernier et remporte ce triathlon pour la 3ème fois !
Adrien Alix est parti de loin
Le local du Dijon Triathlon Adrien Alix, spécialiste du duathlon puisqu’il fait partie de l’équipe championne de France de deuxième division qui évoluera en première division l’an prochain, a montré de belles ressources pour aller chercher la deuxième place. Sorti en 23ème position de l’eau, il a remonté 17 places en vélo puis 4 en course à pied. Adrien Alix a d’ailleurs effectué les 5km en 15’56. Alix a finalement coiffé Grégory Zieba dans les derniers mètres. Zieba complète ainsi le podium.
Doublé pour Maud Cloix
Chez les féminines, l’Autunoise Maud Cloix a nettement dominé la course. Elle a pris une superbe 36ème place au scratch en 1:06’38 et remporte elle aussi l’épreuve pour la deuxième année consécutive. Derrière, la bataille a été rude pour le podium. Cinq minutes après la vainqueur, 4 filles se sont tenues en 30 secondes. C’est la Dijonnaise Karell Dubief qui termine seconde devant la Chenevelière Carine Desbois. A noter que l’autre équipe dijonnaise, le Dijon Single Track, s’est bien comportée avec Grégory Greff, Gérald Lenourry et Timoté Gaugry dans les 12 premiers.
Cette 28ème édition aura été marquée par les performances d’Alexandre Maire et de Maud Cloix, déjà vainqueurs l’an dernier et qui ont nettement maîtrisé leur sujet. Les Dijonnais ont également joué les premiers rôles avec Adrien Alix et Karell Dubief, tous deux seconds.
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