Un Dijonnais revient du Norseman Xtreme Triathlon
Quelle mouche a piqué Nicolas Grégoire, coach de course à pied du Dijon Triathlon, quand cet hiver il a inscrit à son programme le Norseman Xtreme Triathlon ? Comme triathlon très difficile on connait Embrun, mais le Norseman Xtreme Triathlon, plus communément appelé “the Norseman”, est vraiment une course particulière, tant par son format que par sa logistique à mettre en œuvre.
Il s’agit aussi d’un classique format IronMan avec 3,8 km de natation, 180 km de vélo, 42 km de course à pied, et qui se déroule en Norvège le 5 Août. Mais, contrairement à la plupart des triathlons, au Norseman, la course ne revient jamais en arrière. Elle part d’Eidfjord, au sud-ouest de la Norvège, pour arriver dans la région du Telemark, au sommet du Gaustatoppen, à 1883m d’altitude…

Objectif Gaustatoppen
Ce triathlon, un peu fou, a été créé en juillet 2001 par deux triathlètes norvégiens, afin de rebooster un peu ce sport dans le pays. Il a fallu deux longues années de planification et c’est le 19 Juillet 2003 que 21 hommes ont pu sauter du fameux ferry dans le Hardangerfjord. Depuis le nombre de participants n’a cessé de croître pour arriver aujourd’hui à se limiter à 250, pour des raisons d’organisation et de sécurité.
Ironman le plus dur au monde !
Le Norseman n’est commun à aucun autre triathlon puisqu’il n’y a aucun ravitaillement sur le parcours et la course est si difficile que chaque concurrent a l’obligation d’être suivi par une équipe d’assistance en voiture pour la partie vélo et course à pied. Vous obtenez ainsi le Norseman, considéré comme l’Ironman le plus difficile au monde…
Nous vous proposons de découvrir l’incroyable aventure de Nicolas Grégoire, ce Dijonnais qui a participé au Norseman Xtreme Triathlon 2012 en Norvège. Découvrez les récits de l’épreuve en deux étapes :
– Étape 1 : présentation, épreuve de natation et début du vélo (voir l’article).
– Étape 2 : épreuves de vélo et de course (voir l’article).
BRAVO!
Le mythe du NORSMAN
Pas tiré au sort cette année, mais peut-être next year…?
Yvan d’Orléans